Perspectives from Love by Slawowycz

je commence par un espace, quand la barre du clavier se replace,
vas y prends place, je t'emmene voir les etoiles dans l'Espace,
pas de paradis, ou sont les amis, ici c'est la terre, proche du père,
un flash memoire me cache la vision d'espoir, je dois me revoir,
bonne poire, un peu barbare, donc balourd mais pas couard,
je me consacre, a mes massacres, de sons qui consacrent mes passions,
et le son est bon, premier amour, mon hit est sensuel, alors je cours,
la trajectoire a du style, en soi s'installe, l'envie de voir le son en jaille,
alors on se confronte, aux commentaires, au jugement, chaque écoute le juré,
chaque son a un procès, puis vient les critiques, dans les enjouées, il y a aussi des piques,
mais ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort, alors on s'efforce, encore, même en corse,
et la course, de même avec le reste, se court comme forrest, sans vie, sans but,
chaque jour son faire le truc, creer, ou parler, quitte a raconter de la flute,
en essayant de pas se trahir, car tu cours avec les meilleurs comme les pires,
chaque facette et decisions prises, s'englutinent dans l'ether mondial, pas alter soluce final,
varier pour ne pas s'arreter, puis commencer a se contrer, prendre a contre pied,
quelques succes, en devié, se creent, tu pousse de ce coté, esperant que tout viendra flotter,
mais pas si facile, quand ton succes flirtent avec les raccourcis de la pensée,
alors se collent a tes pieds des gens extremes et politises, qui te prennent comme un objet,
juste bon a creer et representer leurs propres idees, qui t'a dit que j'aime la mêlée,
alors quitte a m'enrôler sans connaître les fonds de mes idées, ils m'ont emmêlés,
mais depuis je ne fais que contrer, et quand le succes s'eloigne de l'autre coté,
on panique quitte a se precipiter, quitte a désintegrer le type que l'on est, celui que l'on connait,
et pas cet ego de peur, de colere, de fureur, de sale type, de noirceur, d'addictif, de suspect,
toujours percuté, a chaque moment trop apprécié, tu ne connais pas ce que l'on dit la paix,
cela ne s'arrete jamais, la bataille gronde, se deverse sur le monde, et la geopolitique dans la ronde,
et les causes de la vie se revelent du meme cuir que la mort, les 2 facettes, se collent tete a tete,
le bien ou le mal, tout est pas si median, mais je suis dans un temps, ou le milieu est ma place, l'oeil du cyclone,
car a trop piller l'espace, mes rêves de zikoss, ont pris le dessus, sur la vie la vraie ou l'on sue,
alors pas de glande, en attendant la vraie, ou du moins la plus enfusion des femmes avec mon son,
que kiff un peu de cet acharnement a gratter les etoiles

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