Brest. Ivres, quatre princesses perdues et névrosées se rencontrent autour d’un comptoir de Saint Martin.
De cette relation improbable et malsaine est née le groupe « Princesse Monokini ».
L’avorton sans complexe virevolte entre new wave, punk et stoner avec la délicatesse et la poésie d’un bulldozer.
Bienvenue dans un monde dans lequel Rob Zombie aurait fait un enfant à Casimir.